Actualités

 

 

Samedi 20 juillet 2024, au centre de Lyon, place de la République, la Palestine et Gaza encore et toujours! pour rapeller aux très nombreux flâneurs, consommateurs des commerces de la presqu'île, touristes, vacanciers ... le terrible drame que vivent les Palestiniens, en direct sous nos yeux chaque jour aux actualités des média, trop souvent dans l'indifférence de nombreux compatriotes, voire la complicité d'une partie de nos dirigeants!

 

Belle leçon d'empathie et d'humanité de la part de tous et toutes ces sympathisants et militants (dont ceux de Couleurs Palestine toujours bien présents) qui se mobilisent tous les samedis pour faire reculer l'indifférence et (ou) la résignation et adresser aux Gazaouis un message de solidarité active.

Samedi 22 juin 2024

 

Encore beaucoup de monde ce samedi 22 JUIN - place Bellecour - pour soutenir les palestiniens et exiger la fin du massacre de civils à Gaza et la levée du blocus.

MERCREDI 19 JUIN 2024

Soirée très réussie au "Faitout" à la Mulatière. Près de 150 personnes ont participé à cette soirée "Palestine" organisée au profit d'un projet d'éducation artistique pour les enfants des camps de réfugiés de Naplouse porté par "Project Hope".

De nombreux manifestants ont défilé samedi 15 juin pour réclamer la libération de Georges Ibrahim Abdallah, emprisonné en France depuis plus de 40 ans, et pour exiger un cessez-le-feu immédiat à Gaza et l'arrêt du génocide perpétré par les israéliens contre les palestiniens.

Jérome Faynel a pris la parole à la fin de la manifestation pour parler des prisonniers palestiniens emprisonnés sans motif et qui ont subi des exactions, des tortures, des humiliations par les israéliens

SAMEDI 8 JUIN 2024 plus de 5000 manifestants ont marché pour Gaza

SAMEDI 1er JUIN 2024

Une foule massive s'est réunie place Bellecour en soutien à la Palestine et pour dénoncer l'offensive israélienne à Gaza et les massacres de civils, femmes et enfants.

Environ 5000 personnes étaient présentes pour dénoncer un génocide et demander un cessez le feu.

Massacre près de Rafah : l’impérieuse nécessité de faire respecter le droit international

Ce 26 mai 2024, l’armée israélienne a bombardé un centre pour personnes déplacées près de Rafah, 40 morts étant comptabilisés à cette heure, alors que le bilan pourrait dépasser les 100 victimes, selon un porte-parole de l’UNWRA.

 

Ce nouveau massacre s’inscrit dans une politique mise en œuvre de façon systématique par les autorités israéliennes qui tue de façon indiscriminée. Cette action ne peut apparaître que comme une réponse à la déclaration de la Cour internationale de justice (CIJ) qui a ordonné à Israël, il y a deux jours de cela, d’arrêter immédiatement son offensive militaire à Rafah où sont réfugiées des centaines de milliers de personnes.

 

Dans cette ordonnance du 24 mai 2024, la CIJ a également demandé l’arrêt de « toute autre action menée dans le gouvernorat de Rafah qui serait susceptible d’infliger au groupe des Palestiniens de Gaza des conditions d’existence capables d’entraîner sa destruction physique ou partielle », après avoir rappelé qu’il existait « un risque réel et imminent » que la situation soit irréparable, et « un risque accru » de génocide des Palestiniennes et des Palestiniens de Gaza.

 

Ce nouveau bombardement dans une zone humanitaire peuplée de civils vivant sous des tentes révulse notre humanité. Il est un défi lancé à la communauté internationale. Cette dernière, et tout particulièrement les Etats-Unis et l’Union européenne, se doivent de tout faire pour qu’Israël se conforme sans délai à l’ordonnance de la CIJ. Dans les circonstances présentes, ils portent la responsabilité première de garantir la crédibilité du système juridique international, qui doit s’appliquer à toutes et tous.

 

La LDH (Ligue des droits de l’Homme) appelle donc instamment la France à agir pour que soient prises, en particulier avec l’Union européenne, les mesures efficaces pour faire respecter la décision de la CIJ.

 

Assurer le respect du droit international est une impérieuse nécessité. Au-delà des enjeux juridique et pénal, cette situation engage la responsabilité politique et morale de la République française comme celle de chacune et chacun d’entre nous.

 

La LDH rappelle qu’elle demande un cessez-le-feu immédiat et durable avec la fin des bombardements et du déplacement forcé de la population gazaouie, la libération immédiate des otages détenus par le Hamas, la protection de tous les civils en Israël, à Gaza, en Cisjordanie et Jérusalem-Est, la mise en place d’un corridor humanitaire pour le passage de tous les produits de première nécessité, la levée intégrale du blocus de Gaza, la libération des prisonniers palestiniens en détention administrative arbitraire.

 

 

 

Paris, le 27 mai 2024