Actualités

Environ 300 militants ont participé à ce rassemblement à Vaulx en Velin ce samedi 18 janvier 2025 (Lire le résumé de ce rassemblement dans le menu "actualités")

Environ 1500 personnes ont marché ce samedi 11 janvier 2025 de la place Bellecour à la place Jean Macé pour réclamer encore et toujours la fin du génocide à Gaza et des exactions des colons en Cisjordanie

le drapeau palestinien déployé par Antoine, guide de haute montagne au sommet du Cerro San Francisco au Chili!

Rassemblement du 14 décembre 2024

La journée mondiale de l'enfance était le 20 novembre 2024. Ce samedi 30 novembre, le thème du rassemblement place Bellecour était "les enfants palestiniens".

* Israel est la seule "démocratie" qui emprisonne et torture les enfants à partir de 12 ans (mais uniquement les enfants palestiniens)

* Des centaines d'enfants palestiniens sont détenus dans les prisons israéliennes, sans inculpation ni jugement

Ils sont arrêtés de manière à être traumatisés à vie, selon une méthode pensée et mise au point dans cet objectif

"La plupart des enfants, environ 55% de tous les enfants détenus, sont enlevés à leur domicile au milieu de la nuit par des soldat-e-s israélien-ne-s masqué-e-s et armé-e-s et par des agents de la police des frontières. Ces enfants sont arrachés à leur famille, ont les yeux bandés, sont ligotés, battus et emmenés dans des centres d’interrogatoire israéliens."

*Israel bombarde délibérément les écoles

* Israel est responsable de l'augmentation de la mortalité des enfants dans le monde.

 

Lire aussi l'article "Quand Israël emprisonne les enfants palestiniens, ou l'autre visage de la répression" sur le site d'Amnesty International

 

et l'article de du haut commissariat de l'ONU aux droits de l'Homme : https://www.ohchr.org/fr/press-releases/2024/08/israels-escalating-use-torture-against-palestinians-custody-preventable

 

Soirée exceptionnelle ce dimanche 24 novembre à St Genis Laval, organisée par Couleurs Palestine et Project Hope! Le public était au rendez-vous pour le spectacle de danse dabké de la troupe de jeunes danseurs palestiniens des camps de réfugiés d'Ashkar et Balata, à Naplouse. Ambiance chaleureuse. Et après le spectacle, tout le monde a dansé ensemble, public et danseurs!

Ils sont repartis ce lundi pour Barcelone pour continuer leur tournée.

Voir les vidéos et les photos sur l'onglet Actualités

Mieux que des texte, visualiser la Palestine avec des cartes, des graphiques :

Visualizing Palestine

Comment un médecin venu témoigner des atrocités à Gaza est resté bloqué à Roissy

(article paru dans Libé le 5 mai 2024 )

 

Témoin de la guerre dans l’enclave palestinienne, le docteur Ghassan Abu Sitta fait l’objet d’un signalement aux fins d’interdiction d’entrée dans l’espace Schengen par les autorités allemandes.

Il devait venir à Paris pour raconter au Sénat son expérience de médecin au cœur de la guerre à Gaza. Samedi 4 mai, Ghassan Abu Sitta s’est vu refuser l’entrée sur le territoire français. «Je suis à l’aéroport Charles-de-Gaulle, a rapporté le chirurgien britannique sur son compte X dans la matinée. Ils m’empêchent d’entrer en France. Je suis censé prendre la parole au Sénat français aujourd’hui. Ils disent que les Allemands ont interdit mon entrée en Europe pendant un an.»

 

Les sénateurs écologistes, à l’initiative du colloque sur la situation à Gaza lors duquel Ghassan Abu Sitta devait intervenir, ont vivement réagi sur le même réseau social, dénonçant «une honte» ou jugeant «scandaleux» le fait de l’empêcher de prendre part au colloque. Les organisateurs expliquent qu’ils ont tenté, sans succès, d’intervenir auprès des cabinets de Gérald Darmanin et de Stéphane Séjourné, les ministres de l’Intérieur et des Affaires étrangères. Finalement, «grâce à la mobilisation d’avocats», a indiqué la sénatrice EE-LV Raymonde Poncet-Monge, les élus ont obtenu un lien qui leur a permis d’échanger en visioconférence avec Ghassan Abu Sitta. Dans la soirée, le médecin a ensuite décollé de Roissy pour rentrer à Londres. «Les autorités françaises me refusent l’accès à un vol plus tôt et insistent pour m’envoyer sur le dernier vol de retour, tard dans la nuit, vers Londres», avait auparavant tweeté Ghassan Abu Sitta.

 

«Code frontières Schengen»

Spécialisé dans les blessures de guerre, Ghassan Abu Sitta s’est envolé pour Gaza dès le 7 octobre, dans la foulée des attaques perpétrées par le Hamas. Ce chirurgien plastique de 54 ans, né de père palestinien et vivant au Royaume-Uni (il exerce à Londres), est un habitué des zones de guerre : lors de précédents conflits, il s’était déjà rendu dans l’enclave palestinienne, mais aussi en Irak, en Syrie et au Yémen. Associé aux équipes de Médecins sans frontières, il a opéré les victimes des bombardements israéliens dans deux hôpitaux de la bande de Gaza, Al-Shifa et Al-Ahli. Et lorsqu’une explosion est survenue dans l’enceinte de ce dernier, le 17 octobre, Ghassan Abu Sitta a pris la parole au cours d’une conférence de presse organisée à l’extérieur de l’hôpital, des corps sans vie au pied de son pupitre. Revenu au Royaume-Uni après quarante-trois jours passés à soigner des blessés, il prend depuis régulièrement la parole, y compris dans un portrait publié par Libération en février, pour raconter son quotidien dans «l’enfer» de Gaza.Son refoulement à la frontière française soulève des questions quant à la possibilité pour un pays tiers, en l’occurrence l’Allemagne, de décider qui peut ou non rentrer dans l’Hexagone. «Comment l’Allemagne peut-elle décréter des interdictions de territoire dans tout l’espace Schengen ?» a ainsi réagi Raymonde Poncet-Monge auprès du Monde. La règle découle en fait du code de l’Union européenne «relatif au régime de franchissement des frontières par les personnes», ou «code frontières Schengen». Dont l’article 6 prévoit que l’entrée dans l’espace Schengen «pour les ressortissants de pays tiers» est conditionnée, entre autres, au fait de «ne pas être signalé aux fins de non-admission dans le SIS».

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