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Une place  de la comédie noire de monde hier lundi de Pentecote, pour protester contre l'arrestation de la flotille de la liberté et de ses occupants dans les eaux internationales par l'armée israélienne

samedi 24 mai - marche contre le génocide

 

Voir la vidéo ici

Des photos de personnes assassinées par Israël, des enfants de 2 ans, 6 ans (Hind qui a été assassinée délibérément par les soldats (335 impacts de balles sur la voiture dans laquelle elle se trouvait avec sa famille!), des petites jumelles de 4 mois, des familles entières... On ne peut pas s'empêcher de pleurer quand on voit cette horreur, quand on sait qu'Israël bombarde sans relâche des êtres humains sans défense, qui ne peuvent pas s'échapper de la prison dans laquelle ils sont enfermés. Le rassemblement de ce samedi 10 mai 2025 nous a permis d'entendre des témoignages alors que les médias ne relaient que le discours d'Israël et qu'Israël empêche les journalistes d'entrer et de rapporter au monde ce qui se passe à Gaza (c'est le SEUL conflit au monde où les journalistes ne peuvent pas aller).

FAIM DE JUSTICE POUR LA PALESTINE 

Depuis lundi 31 mars 2025, un mouvement citoyen a débuté à Marseille, utilisant le jeûne comme moyen pacifique d’expression de la colère et d’exaspération, face à l’inaction des gouvernements européens.

Ce mouvement, auquel participent notamment des soignants de retour de Gaza, a pour objectif d’exiger des gouvernements nationaux et des instances européennes l’application du droit international et humanitaire, non respecté. Ici comme en Palestine, l’inaction alimente une indifférence hypocrite et dangereuse pour nos démocraties.

https://ujfp.org/faim-de-justice-pour-la-palestine/

Mobilisation réussie avec une forte implication de toutes et tous, ce samedi 29 mars, pour la journée de la terre!

Regarder la vidéo : https://youtu.be/EGDJCohP39M?si=AxIk4_O7QqhinOZr

RENCONTRE CAUSERIE  EXCEPTIONNELLE AVEC AHMED TOBASI* ET ZOÉ LAFFERTY 

 

SAMEDI 22 FÉVRIER 2025

        

Un après midi avec Ahmed Tobasi,acteur, metteur en scène, directeur artistique du Freedom Theater de Jénine

 

77 personnes y compris des visages inconnus ont participé pendant quasi 2 h,  à la rencontre entre le Collectif69Palestine-Erap et Ahmed Tobasi, Zoé Lafferty, Khalil de Jénine aussi en résidence actuellement aux Subsistances, Lamia du festival Sens interdits.

Nous disons réussite ! 

Ahmed parle juste et politique et avec Zoé nous font part de leur avancée dans la vie malgré tout avec la création d’Artists on the frontline (en 1ère ligne) en particulier.

Sens interdits, festival qui est sans concession pour soutenir les artistes soumis à des conflit, guerre, colonisation.

 

Merci à toutEs, à Yasmine Bouagga Maire du 1er, et à Sens interdits qui  a fait et fera encore venir Ahmed malgré les embûches.

Francois Romanet et Lamia direction du festival Sens Interdits, Les SUBS, Collectif69Palestine, ERAP

Belle ambiance ce matin du 16 février 2025 au marché Cusset à Vaulx-en-Velin. Les vaudais connaissent le boycott et sont très solidaires des palestiniens, les enfants sont aussi très sensibilisés à cette cause.

Beaucoup d'échanges sur les cibles avec certains,  sur la colonisation avec des algériens qui l'ont connu, beaucoup de tracts et stickers distribués.
 2 heures de discussions  avec le soleil en prime.

Ce 2 février 2025, a eu lieu la projection du documentaire NO OTHER LAND.

Un film très fort, un témoignage exceptionnel.

La salle était comble. Nous avons tous ressenti ce sentiment d'impuissance face à la barbarie. Lire la suite sur l'onglet Actualités

le drapeau palestinien déployé par Antoine, guide de haute montagne au sommet du Cerro San Francisco au Chili!

Mieux que des texte, visualiser la Palestine avec des cartes, des graphiques :

Visualizing Palestine

L'UNWRA un témoin indésirable (le Monde diplomatique)

La concomitance est frappante, pour ne pas dire dérangeante. Le 26 janvier, alors que la Cour internationale de justice (CIJ) venait d'évoquer un « risque plausible de génocide » à Gaza et d'ordonner (...)
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Khan Yunis, Gaza, le 25 octobre 2023. Une école de l'UNRWA sert de refuge aux Gazaouis qui fuient les bombardements israéliens.

SOPA Images Limited/Alamy Live News

La concomitance est frappante, pour ne pas dire dérangeante. Le 26 janvier, alors que la Cour internationale de justice (CIJ) venait d'évoquer un « risque plausible de génocide » à Gaza et d'ordonner cinq mesures conservatoires à Israël, les États-Unis ont annoncé la suspension de leur aide à l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA). Une quinzaine d'autres contributeurs dont le Canada, le Royaume-Uni, l'Italie ou l'Allemagne leur ont aussitôt emboîté le pas. La France, pour sa part, a indiqué de façon sibylline, qu'elle n'avait « pas prévu de nouveau versement au premier trimestre 2024 » et déciderait « le moment venu de la conduite à tenir ». En cause, les graves accusations portées par un document établi par les services secrets israéliens contre douze employés de l'UNRWA, soupçonnés d'avoir pris part à l'assaut du Hamas en Israël le 7 octobre 2023. Or, c'est en se basant, entre autres, sur des documents établis par l'agence onusienne que la CIJ a rendu son verdict du 26 janvier.

Avant même que des fuites du rapport de Tel-Aviv ne soient orchestrées dans la presse américaine, l'UNRWA avait pris les devants en rendant publiques les allégations incriminant ses salariés en même temps qu'elle annonçait leur révocation et l'ouverture d'une enquête. Cette tentative de déminage n'a pas suffi à désamorcer la crise.

Créée en 1949 pour fournir assistance et protection aux plus de 700 000 Palestiniens déracinés par la Nakba, cette institution n'a jamais cessé d'être critiquée par Israël qui voit en elle une organisation perpétuant ad vitam æternam le statut des réfugiés. Mais les nouveaux reproches sont d'une virulence inédite. L'UNRWA serait « fondamentalement compromise » avec le mouvement islamiste du Hamas, a lâché le 30 janvier M. Eylon Levy, le porte-parole du gouvernement israélien. « Dix pour cent des 12 000 employés de l'UNRWA dans la bande de Gaza [l'UNRWA chiffre ses effectifs à 13 000 personnes] sont des agents du Hamas ou du Jihad islamique », a-t-il indiqué, citant le rapport d'intelligence éventé par la presse américaine.

Après avoir à son tour étudié ce document, la chaine d'information en continu britannique Sky News a estimé que certaines affirmations des services secrets israéliens, par ailleurs mis en cause pour n'avoir pas anticipé l'attaque du 7 octobre, n'étaient étayées d'aucune preuve. C'est pourtant bel et bien sur sa base que seize pays ont gelé leur aide à l'UNRWA.

Considéré comme une punition collective infligée aux habitants de Gaza par les soutiens de la Palestine, la suspension de ces financements (d'un montant total de 440 millions de dollars, soit plus de la moitié de son budget en 2023) pourrait, selon l'agence, mettre en péril ses activités d'ici à la fin février, non seulement dans la bande de Gaza mais aussi dans ses autres régions d'intervention, en Cisjordanie, au Liban, en Jordanie et en Syrie. Dans ce contexte, la Norvège, l'Espagne, l'Irlande, la Belgique et la Nouvelle-Zélande se sont engagées à maintenir leurs contributions.

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© Le Monde diplomatique, février 2024