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Mercredi 1er mai 2024 Pour la journée des travailleurs et travailleuses : manifestons pour la Palestine

 

Samedi 27 avril 2024 dès 13h Fêtes des luttes au CCO la Rayonne organisé entre autre par le collectif Palestine 69 : +d'infos...

 

Rassemblement du samedi 20 avril 2024

Encore un rassemblement réussi place des Terreaux avec sa fameuse fontaine rouge comme le sang des gazaouis continuellement bombardés par l'aviation israélienne! Couleurs Palestine toujours bien représentée par une quinzaine de militants.tes après 7 mois de manifestations et rassemblements hebdomadaires.

Rassemblement du samedi 16 mars 2024

De nombreux manifestants étaient présents ce samedi 16 mars pour soutenir le peuple palestinien, victime de la barbarie israélienne.

 

Plusieurs sujets ont été abordés:

 

Une action 100 sommets pour la Palestine a permis de faire flotter le drapeau palestinien sur plusieurs sommets de France MAIS le préfet du Puy de Dome a INTERDIT d'escalader le Puy de Dôme !!!! C'est incroyable de bêtise !


La polémique au sujet de Sciences Po Paris : soutien aux courageux étudiants qui avaient organisé cette réunion pro palestinienne et qui se sont vu accuser d'anti sémitisme, alors que plusieurs étudiants juifs étaient présents ! L'étudiante qui avait été refoulée l'avait été car elle avait filmé les visage des militants et les avait postés sur le réseaux sociaux, entrainant des campagnes de harcèlement envers ces étudiants!

Extraits de l'enquête de Médiapart: Conflit au Proche-Orient : à Sciences Po Paris, après l’embrasement, des étudiants sous le choc | Mediapart

 

"Dans une tribune, des étudiants juifs de Sciences Po accusent l’UEJF (Union des Etudiants Juifs de France) d’être « hostile à toute revendication propalestinienne » et affirment : « Contrairement aux allégations, nous avons pu entrer dans l’amphithéâtre sans aucune entrave. L’une d’entre nous l’a fait librement, tout en portant autour de son cou l’étoile de David qu’elle porte depuis sa bat-mitzvah. »

Jointe par Mediapart, cette étudiante à l’étoile de David, une tchéco-américaine qui préfère n’être désignée que par ses initiales (L. F.) par peur des représailles, confirme : « Ma grand-mère est une survivante de l’Holocauste, et une partie significative de la famille de ma mère y a été décimée. J’ai toujours eu un sens aigu de ce qu’est l’antisémitisme, et cela me fait souffrir de voir la lutte contre l’antisémitisme instrumentalisée de cette manière. Le 12 mars, il n’y a pas eu d’antisémitisme. Si un incident a conduit à ce qu’une personne ne puisse pas entrer, ce n’était pas parce qu’elle était juive, j’en suis une preuve vivante. »

De son côté, le Comité Palestine Sciences Po a démenti les allégations d’antisémitisme dans un communiqué, affirmant qu’« aucun·e étudiant·e n’a été empêché·e d’entrer dans l’amphithéâtre en raison de son appartenance religieuse ». Il affirme que l’entrée a été refusée à « des individus ayant harcelé et intimidé par le passé d’autres étudiant·es quant à leurs positons politiques ».

Jointe par Mediapart, Léo Le Roux, une membre du comité, affirme que c’était le cas de l’étudiante de l’UEJF : « Elle filmait spécifiquement les visages avec son téléphone, on lui demandait d’arrêter, ce qu’elle ne faisait pas. C’est une vigilance qu’on a, qui est très classique dans les AG et les occupations, ce n’était pas contre elle mais contre les étudiants ouvertement hostiles ou menaçants. » « Lors de précédentes actions en solidarité avec la Palestine, ses photos se sont retrouvées sur Twitter [devenu X], Telegram, et des vagues de harcèlement s’ensuivaient », abonde Hicham, lui aussi membre du comité.

Les étudiantes et étudiants propalestiniens avec qui nous avons échangé disent vivre sur le campus avec un sentiment de « danger constant » du fait de la pratique du « doxing » qui s’est répandue chez les militant·es pro-Israël – la publication sur les réseaux sociaux des coordonnées personnelles de militants et militantes soutenant la Palestine, en incitant au harcèlement –, ce dont témoigne aussi un reportage de Blast.

Pour s’être exposés médiatiquement, Léo et Hicham affirment subir ces derniers jours une « vague de harcèlement monstre ». Le 15 mars, Léo nous expliquait s’être rendue sur le campus de Sciences Po accompagnée, « par peur », après avoir été reconnue et traitée d’antisémite dans la rue, près de chez elle. Pour ces militant·es, les accusations de l’UEJF s’inscrivent dans « une stratégie claire qui vise à intimider les voix propalestiniennes »."

 

 

Le 16 mars, c'était l'anniversaire de la mort de la militante américaine pour la paix Rachel Corrie, qui avait été écrasée volontairement en 2003 par un bulldozer israélien alors qu'elle manifestait contre les démolitions de maisons palestiniennes à Gaza. Personne n'a été poursuivi pour cet assassinat. Elle avait 23 ans.

https://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2012/08/28/qui-etait-rachel-corrie-morte-sous-les-chenilles-d-un-bulldozer-israelien_1752278_3218.html

 

Lecture du dernier message de notre ami Ziad, depuis Gaza. Poignant, triste, horrible.

 

Rappel également de la situation du plus ancien prisonnier politique d'Europe Georges Ibrahim Abdallah, résistant communiste issu du Front Populaire de Libération de la Palestine célèbre pour son engagement au coté du peuple palestinien contre l'occupant israélien, qui est emprisonné sans preuves depuis 40 ans en France, qui est libérable depuis 1999 et que l'état refuse de libérer.  L'affaire de Georges Abdallah, une exception ou une détermination de l'État français à exécuter les crimes d'Israël ? | Assawra - الثورة (La Révolution)

A lire sur ce sujet : Après la condamnation du chef présumé des FARL Premier avocat de Georges Ibrahim Abdallah Me Jean-Paul Mazurier était un agent de la DGSE LE FACTEUR HUMAIN (lemonde.fr)